Nos vignobles : les vignes du Château Beauséjour et du Château Langlais
 

Nos vignobles : les vignes du Château Beauséjour et du Château Langlais

L’histoire de notre domaine viticole s’inscrit au cœur des vignobles de Saint-Émilion, à Puisseguin, dans une commune à proximité. Les vignes Château Langlais et Château Beauséjour s’étendent sur le fameux plateau argilocalcaire de Saint-Émilion. 

Les vignobles Dupuy

Les vignobles Dupuy

Nos vignes sont cultivées selon les méthodes ancestrales de notre arrière-grand-père, ce qui correspond selon notre perception du 21e siècle aux critères de l’agriculture biologique. Comme en atteste la présence de fragiles tulipes sauvages chaque printemps, nos terres sont vierges de tout produit chimique.

Dès son arrivée sur le domaine en 1995, Gérard Dupuy demande la certification biologique de sa production par l’organisme ECOCERT

Venez découvrir nos vignobles et la riche histoire de notre domaine le temps d’une visite avec dégustation. Pour tout renseignement complémentaire, n’hésitez pas à nous contacter  !

Château Beauséjour
 

Château Beauséjour

Situées au cœur du village de Puisseguin, les vignes du Château Beauséjour représentent des cépages typiques du terroir de la région de Saint-Émilion : 70 % de Merlot 25 % de Cabernet Franc et 5 % de Cabernet Sauvignon.

Les murs en pierre de taille de la chartreuse du 19e siècle implantée au cœur du domaine viticole offrent des conditions optimales pour l’élevage du vin, avec une cave à température constante de 13 °C. Découvrez nos vins biologiques d’excellence.

Château Langlais

Château Langlais

Également sur la commune de Puisseguin, à l’est du Château de Beauséjour, nous cultivons 12 hectares de vigne sur un terroir argilocalcaire typique de la région. Le Château Langlais, propriété de la famille Dupuy, renferme en ses caves de très anciens millésimes. Cet édifice, dont la base et les deux tours datent du 14e siècle, aurait été un lieu de séjour de la sœur d’Henri IV, roi de France. Ses murs ont été dégradés lors de la Révolution, mais le château retrouve son prestige en 1860 grâce à la petite fille de son propriétaire, le corsaire Martinot.

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